Gato poussa un long soupir mélancolique, de sa voix métallique. Allongé à flanc de colline, sur le sol d’acier, il contemplait le paysage. Le vent électromagnétique soufflait, faisant courir de petits arcs électriques entre les feuilles rouillées des arbres de fer. On reconnaissait bien là l’automne. Des fois, il était nostalgique des pins d’aluminium de sa terre natale, ceux qui ne perdaient jamais leurs épines.
Il finit par se relever, levant les bras et se dressant sur la pointe des pieds pour s’étirer les pistons un bon coup. Ses pas résonnèrent, métal contre métal.
il retourna à sa voiture, la pointe de la technologie. Tout en bois.
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