Il enfila le casque sur sa tête, et s’installa bien confortablement dans son fauteuil. L’équipement, souple, lui recouvrait une bonne partie du crâne, et de nombreux fils en sortaient pour se rejoindre en un câble. Ce dernier était relié à une étrange machine, elle-même connectée à un écran.
Il se laissa aller, se détendant. Avec un sourire paisible, il atteignit rapidement un état de somnolence, de semi-sommeil, et laissa jouer son imagination. C’était presque un rêve, mais pas tout à fait, et il le maîtrisa pour diriger l’aventure qu’il souhaitait, épique, pleine d’audace. Au fur et à mesure, à côté, sur l’écran, son récit s’écrivait ligne par ligne.
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