– Han !
…
– Han !
Andréa s’essuya le front du dos de la main, puis elle reprit sa masse et la brandit haut.
– Han ! fit-elle avec un dernier coup.
Son torse musclé ruisselait de sueur. Elle redescendit de son immense escabeau et elle alla s’approcher d’un grand arbre couché. Soufflant et ahanant, elle le tira plus avant. Elle se mit à l’extrémité, et là elle commença à le soulever au-dessus de sa tête. Grognant sous l’effort, elle avança lentement, progressant le long du tronc, redressant l’arbre petit à petit.
– …!
Enfin, il fut droit.
Elle cala alors son escabeau à côté, grimpa dessus, sa masse à la main. En haut, elle la brandit haut, et commença à taper et à enfoncer le tronc dans le sol.
On lui avait demandé de planter une forêt, et bon sang ce que c’était dur.
Laisser un commentaire