Arthur jeta un œil sur l’enveloppe au milieu du tas de publicités. Elle n’avait l’air de rien, si ce n’était d’une enveloppe classique, cependant il reconnut l’origine au cachet de la poste. Un peu fébrile, il s’empressa de l’ouvrir, le cœur battant la chamade.
Vide.
Mais, une sensation de chaleur l’envahit. Puis, il sentit distinctement des bras l’enserrer, et sa joue se presser contre un torse. Et, enfin, le fantôme d’un baiser lui frôler les lèvres. Il en profita, les yeux fermés, souriant légèrement.
Son cœur se serra un instant quand tout s’arrêta. Son aimé lui manquait.
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